Tout comme les médecins ou les psychiatres, les psychologues sont des spécialistes qui œuvrent pour le bien-être de chaque personne au sein d’une société. Cependant, à l’inverse de ces derniers un psy ne prescrit pas de médicaments, mais traite son patient d’une tout autre manière. Il observe le comportement physique et mental de ce dernier et chaque personne est libre de le consulter, et ce, pour n’importe quelle raison. C’est dans ce cadre donc que même les anciens condamnés ont le droit d’avoir leur propre psychologue pour un suivi psychologique après la sortie de prison.
Pourquoi un ex-détenu doit faire appel à un psychologue ?
Dans certains cas, c’est la loi qui oblige un ex-prisonnier à consulter un psychologue, mais il est aussi possible que ce soit l’ex-détenu lui-même qui se lance dans cette initiative. Dans le premier cas, un ex-prisonnier est contraint d’aller voir un psychologue sous les conseils de son avocat et par ordre de la loi. Souvent, ceux qui sont forcés à voir un psychologue ont été emprisonnés à plusieurs reprises, et ce, pour la même raison. Ainsi, en guise de prévention des risques de récidives, ils sont contraints de consulter un psy.
Pour ce qui est du deuxième cas, c’est l’ex-condamné lui-même qui décide de son propre gré d’aller voir le psy pour régler le problème qui l’a conduit en prison. Dans d’autres cas, ils font appel à des spécialistes pour parler des traumatismes qu’ils ont vécus en tant que détenus.
Quels sont les sujets de conversation ?
Pour certains ex-détenus, la consultation d’un psychologue a commencé lorsqu’ils étaient encore en prison. Cela leur a permis de comprendre leur parcours, leur entourage, mais surtout de surmonter la difficulté de devoir vivre enfermé. Après s’être confiée au psychologue, une relation de confiance s’installe entre ce dernier et le prisonnier. L’expert ne peut sous aucun prétexte évaluer le condamné et doit rester confidentiel et professionnel.
Pour ce qui est des prisonniers qui ont purgé leurs peines, mais qui continuent de voir le psychologue, un échange plus élargi doit être fait. Ils vont alors parler de leurs ressentis face à leurs impuissances concernant les conditions de détention, le manque d’aide venant de la famille, des avocats ou encore des assistantes sociales.
La séance peut aussi tourner autour des plaintes comme l’insertion sociale après la détention, à savoir le fait de devoir trouver un logement ou un travail décent. Le rôle du psychologue est alors d’aider ces personnes à réintégrer de nouveau la société.
Comment évolue la vie des ex-prisonniers après les suivis psychologiques ?
Les suivis psychologiques après une période de détention ont pour but de favoriser l’équilibre social dont les ex-prisonniers ont besoin. Ils permettent aussi à ces derniers d’oublier leur expérience en tant que prisonnier, de passer à autre chose en vue d’adopter une bonne attitude et de trouver un métier. Il s’agit d’une manière de les aider à se comprendre et de les encourager à ne pas recommencer, quelles qu’en soient les raisons pour lesquelles ils sont allés en prison. Parfois, pour une meilleure insertion sociale, les prisonniers sont encouragés par le psy à travailler en tant que bénévoles en vue de rétablir la communication perdue.
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Tout comme les médecins ou les psychiatres, les psychologues sont des spécialistes qui œuvrent pour le bien-être de chaque personne …
Parfois, les sensations d’alourdissement ou le fait que le corps est constamment fatigué, rigide ou douloureux peuvent être le signe …
Parfois, les sensations d’alourdissement ou le fait que le corps est constamment fatigué, rigide ou douloureux peuvent être le signe d’un surpoids. La fatigue corporelle constante indique ici le surpoids mental et psychologique. Elle se manifeste souvent par un excès de pensées négatives, inertes et improductives. Pendant la journée, l’être humain imagine, comprend des choses, réfléchis, créées, calcule et prend des décisions. Tel que Pascal le disait : « l’homme est un roseau pensant ». Cependant, ce n’est pas toutes les pensées qui sont utiles, il y a ceux qui sont maladifs et qui doivent être chassés de l’esprit.
Les causes du surpoids mental
Comme il a été constaté par plusieurs scientifiques, le fait de penser est typiquement humain et différencie les hommes des autres êtres vivants. Cependant, lorsque la pensée est de trop, elle ne devient plus bénéfique, mais œuvre à leur détriment. Entre parfaitement dans ce cadre les pensées critiques. Les critiques peuvent être bénéfiques si, toutefois, elles servent à améliorer une personne. En revanche, elle peut être maladive si elle ne sert qu’à juger une autre personne ou encore à la réprimander sans cesse.
Ensuite, il y a la tristesse profonde. C’est un état d’auto-victimisation qui empêche souvent la victime d’avancer et qui la force à s’apitoyer davantage sur son sort. Après, il y a les suppositions inutiles. Le seul résultat que cela donne au sujet est la fatigue. Les conjectures, les énigmes et les hypothèses de trop ne font en général que blesser la personne et engendrent un surpoids mental. Puis, il y a le conditionnel qui se traduisent par la fameuse phrase « si j’avais fait ceci … » le fait de remuer sans cesse le passé et de penser aux comportements que le concerné a dû adopter face à une situation antérieure est une cause perdue.
Les effets des pensées poubelles sur l’organisme
Les pensées poubelles sont en général superflues, inutiles, car au lieu d’apporter des bénéfices cognitifs, elles gaspillent souvent l’énergie et ralentissent le reste des processus du conscient. Elle agit tout d’abord sur la santé mentale, en empêchant la victime de devenir créative et productive dans son travail. Parfois, les personnes qui ont tendance à trop réfléchir deviennent aussi incompréhensives et sont incapables d’acquérir de nouvelles habiletés. Sans compter le fait que de telles pensées bloquent les vertus d’une personne. En ce qui est des conséquences physiques, les pensées maladives mènent souvent à l’obésité. Elles peuvent aussi contribuer à l’épuisement physique par lequel provoque les difficultés à marcher, les problèmes de respiration, une transpiration excessive, mais aussi la présence de l’acné.
Les solutions
Pour éviter le surpoids mental, il faut dans un premier temps penser à reposer son esprit en pratiquant de la méditation. D’autres activités telles que la peinture, aller au cinéma ou le fait d’assister à des séminaires sont des manières de se débarrasser de ces pensées poubelles. Ensuite, il faut aussi éliminer les toxines sociales. S’entourer, par exemple, de personnes négatives et pessimistes peut provoquer un alourdissement de la pensée. Il faut donc trouver un entourage plus enrichissant et encourageant. Enfin, le fait de prendre un break et de partir pour une destination lointaine est aussi une manière de se vider l’esprit et de se ressourcer.
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